Bruce Lee (27 novembre 1940, Chinatown, San Francisco – 20 juillet 1973, Hong Kong) Mens. 1,71m, 62kg
Fils d’un comédien vedette de l’opéra de Canton, élevé à Hong Kong, Bruce Lee (né Lee Jun-fan) commence à 13 ans le Wing Chun, art martial chinois de combat rapproché à mains nues ou avec des armes. Pour valider sa nationalité américaine et l’éloigner les gangs de rue chinois, sa mère l’envoie étudier à Seattle, puis à Washington où il suit des cours de philosophie.
Un nouveau style de combat
Bruce Lee enseigne les arts martiaux et ouvre rapidement son école aux USA. Il a mis au point son propre style: le Jun Fan. Mais la transmission de cet art aux occidentaux est mal vue: le maître Wong Jack Man le défie de combattre contre lui avec en jeu la fermeture de son école. Bruce Lee gagne le combat, mais est déçu: il est à bout de souffle à la fin du combat, qu’il pensait au départ emporter en quelques secondes.
Il crée une nouvelle discipline, le Jeet Kune Do (« la voie du poing qui intercepte ») qui intègre aux techniques traditionnelles du Kung Fu des coups d’autres sports de combat. Plus pratique, plus fluide et plus rapide, le Jeet Kune Do est aussi une discipline d’entraînement musculaire efficace.
Bruce Lee écrit plusieurs livres sur sa technique de self-défense et vit surtout de son enseignement. En 1970, blessé au dos, il doit rester alité pendant 6 mois, durant lesquels il couche sur le papier sa vision de l’art du combat et ses relations avec la sagesse orientale.
Un Chinois à Hollywood
En 1972, il tourne La Fureur de vaincre puis enchaîne sur La Fureur du dragon, premier film asiatique tourné en Europe avec des stars occidentales au casting, notamment Chuck Norris.
Le succès est international et Bruce tourne en 1973 la superproduction hollywoodienne Opération dragon, avec John Saxon et Jim Kelly. Ce sera son avant-dernier film: il meurt la même année d’un œdème cérébral (à 32 ans) pendant le tournage du Jeu de la mort. Le film sera tout de même terminé 5 ans plus tard avec un scénario modifié.
S’il a révolutionné le style des arts martiaux au cinéma et en général, il avait aussi son style à la ville: costume cintré à pattes d’éph’, chemise ouverte, grosses lunettes de soleil fumées, boucle de ceinture rutilante, Bruce a tout l’attirail du beau gosse.
Un petit Chinois intelligent, viril, et élégant qui réussit au cinéma américain: sa statue n’est pas près d’être déboulonnée.
Très ami avec Steve McQueen, le playboy du mois dernier, cette amitié sera finalement ébranlée par des rivalités causées par l’ascension fulgurante de Bruce.
ah…enfin un play boy !
merci !
ouais, ok, je valide… En costard ou avec la barbiche, je valide ce choix 😉
Merci !!!
Il fait rêver les filles aussi !
Moi par exemple, c'est le top des tops, le plus beau, le plus charismatique. Personne ne lui arrive à la cheville en grâce et en intelligence !
Très belles photos. Il restera éternellement beau !
Nathalie
Ravi d'avoir fait plaisir à une fan! 🙂