La pin-up de la semaine n°93: Claire Rambeau

Claire Rambeau (née le 8 mai 1951 à Santa Barbara, Californie) Mens. 91A-61-91, 1,80m, 60kg (36A-24-36, 5’11 », 133lbs)

Mannequin américain, Claire Rambeau est Playmate du Mois pour le magazine Playboy d’octobre 1971. Sa photo en page centrale paraitra également dans la première édition internationale de Playboy, en Allemagne, en août 1972.

Claire quitte dès 1969 l’université d’Arizona pour poursuivre à l’âge de 18 ans une carrière de mannequin à Los Angeles, espérant devenir plus tard une femme d’affaires. Elle rentre régulièrement chez son père à Sedona, Arizona, dans la Red Rock country, pour se ressourcer.
Elle rêve de voir la capitale britannique depuis que son ex-colocataire, une hotesse de l’air, lui en vante les mérites. Lassée de Los Angeles et son business permanent, elle part s’installer à Londres pour s’inscrire dans une école de dessin de mode
Finalement de retour en Californie, elle retourne à sa carrière de mannequin professionnel, en passant par l’étape Playmate du Mois.

Le play-boy du mois [bonus]: spécial Journée de la Femme

Exceptionnellement, en cette Journée de la Femme, la pin-up de la semaine laisse sa place à une sélection de play-boys dévoilant leur belle plastique, pour le plaisir des yeux.

Il y a une quarantaine d’années, les hommes avaient des poils, savaient porter le costume, étaient bien serrés dans leur pantalons à pattes d’éph’ et leurs chemises col pelle à tarte et passaient un plus de temps au bistrot que dans la salle de bains.
Mesdames (et messieurs), restez dans le coin: je vous prépare aussi pour très bientôt un spécial sous-vêtements et puis un spécial maillots dès qu’il fera un peu plus chaud.
(Et pas d’inquiétude, la pin-up revient la semaine prochaine!)

Safari photo: autos vintage au Chili

De retour de vacances au Chili!
Une première virée en Amérique du Sud qui ma fait croiser découvrir de nombreuses autos vintage au fil de mes balades.

Le Chili, c’est l’Amérique du Sud, l’Océan Pacifique, la cordillère des Andes. La voiture des Chiliens c’est donc une compacte pour les rues étroites et pentues des villes et un 4×4, pick-up ou break pour la campagne, mais avant tout un véhicule robuste et avec une bonne durée de vie car les conditions sont rudes: soleil, air marin, chemins de montagne…
Les vieux modèles croisés au Chili sont essentiellement japonais et américains, mais aussi de nombreuses voitures européennes fabriquées en Amérique du Sud (Brésil, Mexique, Argentine…) au cours des années 70-80 et des Lada originaires de l’ex-Union Soviétique.
Les marques des années 70 les plus présentes:

  • Datsun / Nissan, Daihatsu et Toyota pour le Japon,
  • Chevrolet, Ford, Chrysler pour les Etats-Unis
  • Volkswagen, Renault, Peugeot et Fiat pour l’Europe
  • Lada pour l’ex-URSS

La star du Chili, c’est la Chevrolet Chevette. Ce modèle américain conçu pour l’Amérique du Sud en 1975 se retrouve à tous les coins de rue! Plutôt étonnant pour une auto des années 70 mais preuve de solidité. Les autres modèles de Chevrolet sont plus rares. Côté pick-up, ce sont les vieux Ford F des années 60-70 qui tiennent la barre américaine.

L’autre surprise, c’est l’omniprésence de Lada, que nous n’avons pas l’habitude de croiser dans l’Hexagone et en Europe de l’Ouest, notamment ici le très populaire break 2104 ou le 4×4 Niva.

Les japonaises sont là aussi avec de chouettes modèles vintage comme la Subaru Rex, la Datsun Sunny ou encore la fameuse Toyota Corolla.

Du côté de l’Europe, on retrouve les éternelles et increvables: la Coccinelle et le Kombi. Quelques modèles moins courants comme la Type 3 (aperçue en break ou coupé) ont également survécu. Renault et là aussi avec beaucoup de Renault 12, des R5, et des 4L. Quelques Peugeot, Fiat ou Volvo, croisées de temps en temps.

Et puis il y a toujours ces modèles difficiles à identifier car elles sont photographiées depuis un bus, ont été totalement customisées ou bien n’affichent plus aucune trace d’une quelconque marque. Espérons que dans les lecteurs de Lost in the seventies, il y a quelques experts automobiles pour m’aider à les reconnaître!


Trêve de blabla et plus de photos avec ce diaporama Vintage Cars Chile 2013
http://www.flickr.com/apps/slideshow/show.swf?v=124984

Jobs (Get Inspired): Ashton Kutcher replonge dans les 70s

Ashton Kutcher s’est laissé pousser les poils pour incarner le patron de la firme à la pomme dans le biopic Jobs : Get Inspired dont les premières jobs viennent d’être dévoilées.

Retour dans les années 70 pour Ashton Kutcher, révélé au public avec le rôle du beau gosse (un peu débile) Michael Kelso dans la série That ’70s Show (1999-2006).
La ressemblance physique de l’acteur avec Steve Jobs (cliquez ici pour des photos de Steves Jobs plus jeune) était frappante dès le casting, mais une fois en chemise trop large, vieux jean et baskets, il ressemble à s’y méprendre au fondateur et patron d’Apple.
Les premières photos du tournage et de promotion et ce premier teaser le montre en hippie, en geek sans look et dans la tenue qu’on connait tous de Steve Jobs: jeans, baskets de running et pull noir à col roulé.

Espérons que la sortie de ce film, qui ravira les aficionados d’Apple, ne plonge pas trop la marque dans la nostalgie, car il y a quelques années qu’on n’a pas été surpris par ses inventions « révolutionnaires ». A quand le retour à la technique, au design épuré, à l’exclusivité?

Sortie prévue le 19 avril, date anniversaire de la création d’Apple, aux Etats-Unis (pas de date pour la France)
Le film ne couvre que la période de 1971 à 2000, de la fondation d’Apple à la sortie du 1er iPod. Le tournage d’un 2e biopic, devrait débuter cette année. Celui-ci s’attarderait sur le lancement de 3 produits emblématiques de la marque: le premier Mac, l’ordinateur Next et l’iPod.

Teaser:

La pin-up de la semaine n°92: Stephanie Marrian

Stephanie Marrian (née le 9 octobre 1948 à Singapour (?))

Mannequin de charme, chanteuse et actrice, Stephanie Marrian est la 1ere « Fille de la Page 3 » (Page 3 Girl) à se dénuder pour le journal The Sun.

Sous le nom de Stephanie Rahn, la jeune mannequin apparaît topless le 17 novembre 1970 en page 3 du tabloid britannique The Sun. Elle pose par la suite à nouveau plusieurs fois pour ce même journal entre 1973 et 1978, sous son nom Stephanie Marrian.

Elle fait une véritable carrière internationale puisqu’elle pose plus ou moins dénudées pour de nombreuses revues, érotiques ou grand public, tout au long des années 70 et notamment en couverture de Frech, FIB Aktuellt, Weekend, Kwik Magazine, Scope, Rits, Feigen-Blatt, Interviu, Girls International…
On retrouve également Stephanie sur des couvertures de livres, des calendriers ou encore des pochettes de disques, dont de nombreuses compilations, mais aussi des albums comme Down Mexico Way de Pepe Jamarillo, Below The Belt de Boxer (1976), ou Disco Lady, a tribute to Donna Summer, de Dee Dee Smith.

Stephanie fait une courte carrière d’actrice avec quelques rôles à la télévision britannique et des petits rôles au cinéma, la plupart du temps dénudée, dans Confessions Of A Sex Maniac (1974), Can You Keep It Up for a Week? (1975), avec Valerie Leon, une courte apparition dans The World Is Full Of Married Men (1979) et enfin 2 rôles en 1981, dans History of the World, Part I, de Mel Brooks, et Green Ice.
Elle apparait également dans une publicité pour la boisson Lilt.
Avec 2 autres mannequins qui avaient posée en page 3 du Sun, Gillian Duxbury et Mona Solomons, Stefanie Marrian joue quelque temps dans le groupe de pop Love Patrol.

Stefanie est sortie pendant longtemps avec Alan Tucker, acteur dans la série télévisée britannique UFO et dans le film La bataille d’Angleterre. Elle a ensuite une courte relation avec le producteur de musique Rod MacSween.