3 ans déjà!

Le 1er août, pendant que je sirotais une boisson  anisée au soleil, ce blog fêtait en toute discrétion ses 3 ans d’existence!

Ca mérite de faire péter une bouteille de Champagne, non?!

Créé le 1er août 2009 de toute pièce par mes petites mains (merci à Baptiste pour le code html!), ce sont déjà plus de 300 articles, des tas d’images glanées sur le web ou scannées dans mes magazines pour illustrer la mode, les voitures, le cinéma, la musique des années 70.
On atteint bientôt 100 « pin-ups de la semaine » (oui, je sais, ça ne fait pas vraiment une par semaine mais je fais ce que je peux…), qui ravissent les quasi 12.000 visiteurs mensuels.

Depuis le début, Lost In The Seventies a fait son chemin sur la toile et est désormais présent sur:

  • Facebook (plus de 200 fans) pour relayer les liens et diffuser plus de vidéos et d’articles d’autres sites
  • Tumblr (près de 150 abonnés) pour poster mes photos de voitures, architecture… et relayer les meilleures photos des blogs que je suis
  • Flickr pour cataloguer les scans de mes cartes postales, magazines… des années 60 et 70
  • Deezer avec une playlist 70s mise à jour au fur et mesure
  • Google Maps avec une carte de France (et un peu du Monde) des plus belles constructions des années 60-70
  • Amazon pour lister les articles (disques, DVD, livres) intéressants
  • Et même une boutique avec des fringues vintage, des badges…

Bientôt la gloire et les filles nues qui se jettent sur moi!!! Muahaha! (bon en fait non, mais on peut rêver!)

Je remercie tous mes lecteurs, en particulier les habitués qui me laissent des commentaires et m’encouragent à continuer, et les sites Uncle Sid, MondoTopless et MagicMac qui m’envoient une partie de leurs visiteurs (plus de 200.000 visites et plus de 600.000 pages vues depuis le début!)

Et de mon côté, je vais effectivement boire un coup et puis peut-être faire une petite fête… 😀

Canicule: buvez de la bière

C’est le mois d’août, il fait très chaud.

La baignade, les eskimos et le ventilateur ne suffisent pas à vous rafraîchir?
Vous en avez assez des diabolos ou des menthes à l’eau?

Faites comme les gens du Nord: quand le thermomètre grimpe, on y consomme sa boisson préférée habituelle, mais au lieu d’une ou deux, on en boit trois… ou quatre!

(Merci à Lisa G. pour la vidéo!)

Ancre, Champigneulles, Porter 39, Kronenbourg… En France, dans les années 70, la bière on boit blonde et fraîche, seul ou entre amis, alsacienne ou lorraine, à table ou en terrasse…
 » A la vôtre ! »

Les pin-ups sur les badges « Lost in the 70s »

Nouveaux modèles de badges dans la boutique Lost In The Seventies: après les 1ers badges du blog le mois dernier, les pin-ups débarquent enfin avec plusieurs modèles différents!

Un hommage à tous ces modèles, la plupart du temps anonymes, qui offraient aux lecteurs des revues des années 70 leurs  formes et leur pilosité naturelles.
Je vous propose ces 4 modèles à collectionner pour épater vos amis :

Avant de lancer la fabrication, j’aimerais avoir une estimation du nombre de personnes intéressées…
2€ le badge frais de port compris (paiement par Paypal).
(Livraison à partir du 15 août selon le nombre de demandes.)

[I’m currently looking for the exact shipping price for countries other than France, let me know if you are interested…]


N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à passer une pré-commande sur la page de la boutique

R.I.P.: Jon Lord (Deep Purple)

Fondateur dès 1967 du groupe Roundabout avec Ritchie Blackmore, Jonathan Douglas « Jon » Lord a été le claviériste de Deep Purple, un des groupes phares des début du hard-rock (lire ici).
Il nous a quitté le 16 juillet 2012.

John Lord joue également dans le groupe Whitesnake à partir de 1978 et mène parallèlement une carrière solo.
Pour Deep Purple, il compose et arrange en 1969 le (trop) novateur Concerto for Group and Orchestra, interprété avec le Royal Philharmonic Orchestra.
La chanson Child in Time, parue en 1970 sur In Rock, et qui dure plus de 10 minutes avec une longue introduction à l’orgue, reste une des chansons les plus emblématiques des concerts de Deep Purple au début des années 70.

Child in Time live Made in Japan en 1972
Jon Lord (en bas à droite) avec Deep Purple

La pin-up de la semaine n°85: Tina Aumont

Tina Aumont (14 février 1946, Hollywood, Californie – 28 octobre 2006, Port-Vendres, France) 1m76, 

Marie-Christine Aumont, dite Tina ou encore « la femme-chat » est une actrice franco-américaine. Elle tourne aussi bien avec Fellini, Bertolucci ou Garrel que dans des films du cinéma bis italien, et est une figure des nuits parisiennes.

Fille des comédiens Jean-Pierre Aumont et María Montez, Tina Aumont pert sa mère à l’âge de 5 ans. Eduquée dans les couvents suisses. Adoslescente, elle rencontre à Mégève la bande de Roger Vadim et notamment l’acteur et réalisateur Christian Marquand avec lequel elle se marie alors qu’elle n’a que 16 ans. Tina Marquand fait alors la couverture de Paris Match: l’article révèle aussi ses débuts au cinéma dans Modesty Blaise (rôle qu’elle a obtenu en faisant croire qu’elle sait manier une moto). Recommandée par son mari, elle tourne également  avec Roger Vadim dans La Curée, en 1966.

Tina Aumont s’établit à Rome avec le peintre Frédéric Pardo. La majeure partie de sa carrière cinématographique se fera en Italie, de 1967 à 1978.

Elle tourne dans plusieurs westerns et enchaîne de nombreux films « sexy », mais aussi des polars, des films de science-fiction, … Quelques rôles marquent sa carrière italienne: Metello de Mauro Bolognini (1970), Cadavres exquis de Francesco Rossi et Casanova de Federico Fellini.
En France, Tina Aumont ne fait que quelques apparitions dans les films très poétiques de Philippe Garrel. Elle fait une très courte carrière à Hollywood, notamment dans Texas Across the River (1966) avec Dean Martin et A Matter of Time (1976) avec Ingrid Bergman.
Durant sa carrière, elle fait régulièrement la couverture des grands magazines européens : Lui, Vogue, Playboy, Playmen, Interviu, Cinérevue…
Avec son mètre soixante-seize, son corps de déesse grecque et ses « yeux de lynx », Tina est alors « une des plus belles femmes au monde », d’après le cinéaste Tinto Brass, avec lequel elle tourne dans Salon Kitty (1976), avec Teresa Ann Savoy et Alena Penz.
Tina Aumont fréquente les milieux artistiques et sort avec Nico, Philippe Garrel, le peintre psychédélique Frédéric Pardo, Marianne Faithfull, Anita Pallenberg et les Rolling Stones, Marlon Brando… Elle est inculpée par la justice italienne pour usage et détention de stupéfiants et reste hors d’Italie le temps de sa condamnation. Elle séjourne alors en France et fréquente la bande du Palace pour des virées nocturnes épiques (notamment à Saint-Tropez).

Tina Aumont dans Casanova (1976)