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Libourne fête les années 70

Avis à tous les amoureux des années 70, aux nostalgiques des pattes d’éph’, aux curieux… La ville de Libourne (près de Bordeaux) vibrera au rythme des années 70 les 10 et 11 septembre.

Après la réussite de la fête des années 60 l’an dernier, la décennie du rock’n’roll et du twist laisse sa place aux hippies et au disco!

Au programme de ces 2 jours:
– village hippie, défilé, blindtest…

– rassemblement Harley Davidson
– maquillage et coiffure « Flower Power »
– concerts blues-rock 70′s, folk-rock, reprises de Joe Dassin
– Blind test 70′s géant
– parade musicale 70’s
– spectacle musical « Les années Hippies »

L’occasion de ressortir vos plus belles tenues et, pour une fois, de passer inaperçu en pattes d’éph et chemise col pelle à tarte!

Pour en savoir plus: http://www.fetedesannees70.com

Soul music: Charles Bradley

Grosse surprise de l’année au festival Solidays (fin juin à Paris): Charles Bradley, soulman tout droit sorti des années 70.


Plutôt emballé à l’écoute de l’album avant le concert, l’excitation s’est amplifiée quand j’ai vu arriver sur scène la réincarnation de James Brown! Sur scène, Mr Charles nous plonge directement dans les années 60-70, avec une combinaison à pattes d’éph’ pailletée, « so disco »!
Les musiciens assurent et Charles fait son show: jeu avec le micro, grand écart, pas de danse à la James (funky chicken mash potatoes…) et sa puissante voix et ses cris sauvages font frémir le chapiteau!
Il montre aussi qu’il n’y a pas d’âge pour s’illustrer dans la musique et le chant, puisque Mr Charles affiche 62 ans!

Eh oui, car si Charles n’avait que 14 ans quand il a vu pour la 1ère fois son idole James Brown en concert (en 1962), il n’a alors de cesse de faire la même chose: chanter et danser. Une carrière brusquement avortée par le départ des membres de son tout 1er groupe pour la Guerre du Vietnam. Il passe alors sa vie derrière les fourneaux, cuisinier à la ville, mais toujours chanteur: il chante avec divers groupes et monte un show de reprises de James Brown.
C’est à plus de 50 ans que Charles Bradley est finalement reperé par un producteur de Daptone Records, qui lui fait enregistrer son 1er single Take It As It Comes avec le groupe Sugarman 3. Il enregistre ensuite 2 singles avec le groupe de funk Dirt Rifle and the Bullets. Le groupe se sépare peu après mais
Thomas Brenneck, le compositeur et guitariste remonte un groupe de soul instrumentale, The Menahan Street Band, avec lequel il et enregistra un 1er album Make the road by walking sur le label Dunham Records qu’il venait de créer à l’intérieur de Daptone Records.
Il décide de composer un album avec Charles Bradley No Time For Dreaming, qui sort en CD et vinyle janvier 2011.

Extrait du concert à Solidays et interview:

La pin-up de la semaine n°63:

Le retour des pin-ups, avec une canadienne et même un homme tout nu!!!
Billie Rainbird (née en 1951 au Québec) Mens. 96-58-91; 1,77m (38-23-36, 5ft10in)

Belle (fausse) blonde aux yeux bleus, Billie Rainbird est Pet of the Month pour le magazine Penthouse de mai 1975.
La canadienne milite pour un Québec « libre » à sa manière… en posant nu sur les plages de la Méditerranée! A l’époque du reportage, elle travaille comme traductrice de documentaires anglophones pour la télévision francophone. Ses hobbies: la cuisine gastronomique et la randonnée dans les montagnes canadiennes.

Fait notoire: non seulement la couverture de ce Penthouse montre une blonde dans un chemisier mouillé très transparent, mais Billie Rainbird dévoile sa toison pubienne sur 5 photos, un record pour l’époque! De plus, il n’y a cette fois aucun flou artistique ou lumière diffuse pour masquer la pilosité intime de la pin-up: elle pose en pleine lumière sur la plage.

pour vous les filles… (1er couple nu de ce blog!)

Road-trip canadien

Premier retour sur mes vacances au Canada, avec pour commencer des tas de photos de bagnoles américaines, bien sûr!!!

1er choc sur la route entre l’aéroport et montréal: les gros pickups et des trucks monstrueux (qui m’ont donné quelques frissons au volant en les voyant se rapprocher dans mon rétroviseur)… « C’est donc ça, l’Amérique! »

Au fil de mes ballades dans les rues, je n’ai pas manqué de capter les plus beaux spécimens croisés: Firebird, Corvette, Torino… et quelques modèles plus récents comme l’omniprésente Ford Mustang nouvelle génération et sa cousine la nouvelle Dodge Charger.

Questions 2 roues, il n’y a pas photo, la reine des routes est bel est bien la Harley-Davidson, à piloter bien sûr en cuir ou blouson en jean sans manche, et casque bol sur la tête.

La plus belle surprise: Au détour d’une route entre Toronto et Kingston, on tombe sur un marchand de voitures d’occasion avec de vieux spécimens de collection: Mustangs, Oldsmobile de course, VW Karmann, Cadillac… 1/2 tour et pause photo obligatoire!!!

Pour le plaisir des yeux, un diaporama avec toutes les photos:
http://www.flickr.com/apps/slideshow/show.swf?v=104087

Lost in the Seventies est de retour!!!

Après un long mois d’absence… et donc de vacances, me voici de retour sur les autoroutes mondiales de l’information.

J’ai ramené dans mes valises des tas de photos, de quoi alimenter quelques billets, notamment avec des vieilles bagnoles canadiennes et l’architecture des années 60-70 de Québec, Montréal, Toronto…

Et puis la pin-up de la semaine revient très vite (je sais que vous l’attendez impatiemment)!

A très bientôt!